
Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité. C’est un trouble neurocomportemental (problème neurologique qui se montre à travers le comportement) qui atteint la sphère de la concentration et/ou l’inhibition corporelle et intellectuelle et/ou l’impulsivité. C’est le seul trouble qui peut être « soulagé » par la médication. De nombreux noms furent donnés à ce trouble : enfant instable, enfant hyperactif, enfant hyperkinétique. Comme pour les autres troubles « dys », les garçons sont plus atteints que les filles.
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Il existe trois grands paramètres définissant les TDA/H : la concentration, l’hyperactivité et l’impulsivité. Les causes du trouble de l’attention sont dues à un problème neurologique. Les fonctions neurologiques déficitaires dans le cas du TDA/H sont les suivantes :
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Attention et concentration : temps de réaction à un effort de concentration ;
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Fonctions exécutives : contrôle des pensées et mouvements inutiles ;
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Mémoire de travail : utilisation de la mémoire à court terme ;
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La flexibilité : l’attention part souvent pour toutes sortes de choses, produire de manière spontanée un flux d’idées suite à une incitation ;
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Activité électrique réduite et réduction de certaines zones des lobes frontaux ;
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Déséquilibre dans le transport de la noradrénaline et de la dopamine (permettre à l’information de circuler) ce qui entraine un déficit de certaines fonctions exécutives.
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A l’heure actuelle, des études se penchent sur le cas de l’origine génétique. Des généticiens ont pu isoler certains gènes qui seraient à l’origine du fonctionnement spécifique du TDA/H : DATI-DRD4-DBH taql.
En ce qui concerne les manifestations du TDA/H, vous pouvez trouver une liste des principales caractéristiques dans le DSM-V mais aussi sur les images du livre "Comprendre les DYSférences" dans l'onglet "Apports personnels-livres". Si la plupart (plus de la moitié) des items sont cochés dans la colonne 2, il peut être intéressant de privilégier la piste du TDA/H. Attention, il n’y a qu’un neuropsychologue qui peut réaliser le diagnostic.
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Comment accompagner l’enfant TDA/H ?
Attention car même si un enfant TDA/H doit avoir un suivi médicamenteux, certains enfants ne sont pas de purs TDA/H (pas de problèmes neurologiques) et ont ce suivi. En effet, certains enfants sont trop vite jugés TDA/H dû à leur comportement sans voir de diagnostic. Dans ce cas, le médicament a un effet néfaste sur l’enfant car le médicament n’intervient que pour un problème neurologique. Il faut donc s’assurer d’avoir un diagnostic sérieux (bilan complet par un neuropsychologue). Je pense que l’orthopédagogue doit vraiment tenir compte de cette donnée et bien se renseigner sur le diagnostic. Un enfant peut être mal jugé et donc aidé d’une autre façon qui sera meilleur pour lui.
Les différentes approches possibles sont : l’approche neuropsychologique, l’approche psychomotrice (psychomotricité relationnelle), la psychoéducation, l’approche psychothérapeutique, l’approche médicamenteuse et l’approche micronutritive (alimentation spécifique pour assurer l’équilibre des neurotransmetteurs).
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Le cours m'a appris énormément. En effet, en stage il y avait un enfant dont nous n'arrivions à comprendre réellement ce qu'il avait et donc nous ne savions pas comment l'aider. Grâce au cours, je pense avoir découvert une piste. A chaque fois que le professeur nous donnait un critère, je pouvais facilement le remettre dans mon contexte de stage. Ainsi, grâce également à mon cas, j'ai pu avoir des images de la théorie du cours. Pour moi, le point négatif est le manque d'heures pour ce cours comparé à d'autres cours. J'ai eu l'impression de devoir voir le cours par moi-même et du coup, je me sentais en manque d'outils, d'informations. C'est pourquoi le livre "Comprendre les DYSférences" m'a permis de mieux comprendre le cours et de mettre les deux écrits en parallèle. Ainsi, j'ai réussi à me réapproprier la matière que vous avez pu lire au-dessus. Je peux relier le chapitre du livre également au cours "Grille d'analyse" car nous pouvons trouver (dans le lien du livre), des grille avec les caractéristiques du TDA/H. Bien que ce ne soit pas exactement pareil, le principe de la grille pour observer un comportement reste identique.
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Dans le lien ci-dessous, nous pouvons trouver des astuces afin de gérer un TDA/H. Cela est plus pour les parents mais les enseignants peuvent en prendre note. Vous trouverez également le site dédié aux TDA/H avec des conseils, de la documentation, des formations,... Vous pouvez également trouver le TFE de Deward Céline, de l'ENCBW qui concerne l'aide par rapport à ces enfants. Il existe également plusieurs documents concernant les aménagements à mettre en place dans un milieu scolaire. Vous pouvez retrouver ces quelques idées d'aménagements dans les trois autres liens dont certains proviennent du Québec.
Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité. C’est un trouble neurocomportemental (problème neurologique qui se montre à travers le comportement) qui atteint la sphère de la concentration et/ou l’inhibition corporelle et intellectuelle et/ou l’impulsivité. C’est le seul trouble qui peut être « soulagé » par la médication. De nombreux noms furent donnés à ce trouble : enfant instable, enfant hyperactif, enfant hyperkinétique. Comme pour les autres troubles « dys », les garçons sont plus atteints que les filles.
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Il existe trois grands paramètres définissant les TDA/H : la concentration, l’hyperactivité et l’impulsivité. Les causes du trouble de l’attention sont dues à un problème neurologique. Les fonctions neurologiques déficitaires dans le cas du TDA/H sont les suivantes :
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Attention et concentration : temps de réaction à un effort de concentration ;
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Fonctions exécutives : contrôle des pensées et mouvements inutiles ;
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Mémoire de travail : utilisation de la mémoire à court terme ;
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La flexibilité : l’attention part souvent pour toutes sortes de choses, produire de manière spontanée un flux d’idées suite à une incitation ;
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Activité électrique réduite et réduction de certaines zones des lobes frontaux ;
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Déséquilibre dans le transport de la noradrénaline et de la dopamine (permettre à l’information de circuler) ce qui entraine un déficit de certaines fonctions exécutives.
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A l’heure actuelle, des études se penchent sur le cas de l’origine génétique. Des généticiens ont pu isoler certains gènes qui seraient à l’origine du fonctionnement spécifique du TDA/H : DATI-DRD4-DBH taql.
En ce qui concerne les manifestations du TDA/H, vous pouvez trouver une liste des principales caractéristiques dans le DSM-V mais aussi sur les images du livre "Comprendre les DYSférences" dans l'onglet "Apports personnels-livres". Si la plupart (plus de la moitié) des items sont cochés dans la colonne 2, il peut être intéressant de privilégier la piste du TDA/H. Attention, il n’y a qu’un neuropsychologue qui peut réaliser le diagnostic.
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Comment accompagner l’enfant TDA/H ?
Attention car même si un enfant TDA/H doit avoir un suivi médicamenteux, certains enfants ne sont pas de purs TDA/H (pas de problèmes neurologiques) et ont ce suivi. En effet, certains enfants sont trop vite jugés TDA/H dû à leur comportement sans voir de diagnostic. Dans ce cas, le médicament a un effet néfaste sur l’enfant car le médicament n’intervient que pour un problème neurologique. Il faut donc s’assurer d’avoir un diagnostic sérieux (bilan complet par un neuropsychologue). Je pense que l’orthopédagogue doit vraiment tenir compte de cette donnée et bien se renseigner sur le diagnostic. Un enfant peut être mal jugé et donc aidé d’une autre façon qui sera meilleur pour lui.
Les différentes approches possibles sont : l’approche neuropsychologique, l’approche psychomotrice (psychomotricité relationnelle), la psychoéducation, l’approche psychothérapeutique, l’approche médicamenteuse et l’approche micronutritive (alimentation spécifique pour assurer l’équilibre des neurotransmetteurs).
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Le cours m'a appris énormément. En effet, en stage il y avait un enfant dont nous n'arrivions à comprendre réellement ce qu'il avait et donc nous ne savions pas comment l'aider. Grâce au cours, je pense avoir découvert une piste. A chaque fois que le professeur nous donnait un critère, je pouvais facilement le remettre dans mon contexte de stage. Ainsi, grâce également à mon cas, j'ai pu avoir des images de la théorie du cours. Pour moi, le point négatif est le manque d'heures pour ce cours comparé à d'autres cours. J'ai eu l'impression de devoir voir le cours par moi-même et du coup, je me sentais en manque d'outils, d'informations. C'est pourquoi le livre "Comprendre les DYSférences" m'a permis de mieux comprendre le cours et de mettre les deux écrits en parallèle. Ainsi, j'ai réussi à me réapproprier la matière que vous avez pu lire au-dessus. Je peux relier le chapitre du livre également au cours "Grille d'analyse" car nous pouvons trouver (dans le lien du livre), des grille avec les caractéristiques du TDA/H. Bien que ce ne soit pas exactement pareil, le principe de la grille pour observer un comportement reste identique.
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Dans le lien ci-dessous, nous pouvons trouver des astuces afin de gérer un TDA/H. Cela est plus pour les parents mais les enseignants peuvent en prendre note. Vous trouverez également le site dédié aux TDA/H avec des conseils, de la documentation, des formations,... Vous pouvez également trouver le TFE de Deward Céline, de l'ENCBW qui concerne l'aide par rapport à ces enfants. Il existe également plusieurs documents concernant les aménagements à mettre en place dans un milieu scolaire. Vous pouvez retrouver ces quelques idées d'aménagements dans les trois autres liens dont certains proviennent du Québec.