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Bienvenue sur ma page personnelle. Vous trouverez ici des informations me concernant ainsi que mon CV. Comme dit dans mon titre, je suis institutrice primaire et cette année, je poursuis une formation en orthopédagogie afin d'enrichir mon expérience. 

​

  • Quel a été le contexte du choix de mes études ?

Dès mon plus jeune âge j’ai toujours souhaité devenir institutrice primaire et ce métier est toujours resté comme une envie en moi.

Lorsque j’étais en primaire, j’ai toujours été attentive à tout ce qui m’entourait dans la classe: les affiches, la matière vue aux cours, le matériel ou les jeux qui étaient à notre disposition. De plus, mes enseignants m’ont donné envie de faire ce métier de par leur façon d’être : gentils, attentifs, patients, …

Je suis également animatrice pour des enfants lors de plaines de vacances mais aussi dans une unité scoute. J’anime des enfants de 8 à 12 ans. Je me suis aperçue que j’appréciais le contact avec les enfants, surtout venant d’une famille de quatre enfants.  Cependant, je ne souhaitais pas continuer à les animer toute ma vie, je préférais et j’avais l’envie de leur apprendre plus de choses, de les ouvrir au monde, ouvrir leur esprit, les faire grandir, leur apporter une certaine culture mais aussi un acte social.

 Après ces études, j'ai entrepris une formation en orthopédagogie. Cette envie m'est venue d'abord de par mon petit frère. En effet, j'ai la chance d'être la grande sœur d'un petit garçon trisomique 21 que je peux voir s'épanouir chaque jour. Les jours ne se ressemblent pas et chaque jour a ses joies comme ses peines. En voyant ce que nous avons dû surmonter, le combat que nous menons chaque jour, j'ai eu envie d'entamer cette formation afin d'aider les enfants en difficultés, de soutenir les parents dans leur combat. D'autre part, lors de mes derniers stages, je me suis aperçue que l'enseignement n'aidait pas assez ces enfants à besoins spécifiques. Les enseignants sont parfois dépourvus, ils ne savent pas quelle attitude adopter, ils ne sont pas toujours partants pour des projets. Le système scolaire est selon moi inadapté car certains enfants sont exclus. Or, il faut un apprentissage pour tous.Il reste donc beaucoup à faire mais je suis prête à relever ce défi!

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  • Quels sont mes points forts et mes points faibles sur le plan personnel et sur le plan professionnel ?

Enthousiaste et souriante, j’aime le contact avec les enfants et je m’efforce d’être soucieuse du bien-être de chacun. Etant animatrice, je pense que cela est un atout au niveau du contact, des liens que je peux créer avec les enfants. Je n’ai pas peur d’aller vers eux.

A la fois patiente et disponible j’aime consacrer du temps à mon travail que ce soit lors de l’élaboration de la leçon, de la découverte de nouvelles matières ou du temps à consacrer à mes élèves pour les pousser à aller le plus loin possible, pour les aider lorsqu’ils ne comprennent pas une leçon.

Je suis quelqu’un de curieux, qui aime toujours apprendre, qui aime découvrir de nouvelles choses, de nouveaux horizons. Du coup, que ce soit pour approfondir une matière, pour aborder un nouveau sujet, cela ne me fait pas peur et me pousse à faire des recherches. Etant consciente que mon apprentissage n’est pas terminé je m’efforce de m’améliorer davantage chaque jour.

Ma discrétion pourrait parfois passer pour de la timidité, même si cela s’est fortement amélioré en trois ans grâce aux stages, à la confiance qui s’est développée mais toutefois je sais, quand il le faut, donner mon opinion et faire en sorte de la défendre. Je suis sociable et m’intègre facilement dans une équipe.

Au niveau de mes points faibles, j’éprouve encore certaines difficultés à évaluer correctement le temps d’une leçon en fonction de l’importance de la matière, de réguler les situations d’apprentissage. Quand je ne suis pas tout à fait à mon aise, j’ai encore un peu de mal, parfois, à m’ouvrir aux autres. L’apprentissage des mathématiques me fait toujours autant peur car ayant eu de grosses difficultés, j’ai l’impression de ne pas bien les enseigner, je n’ai pas envie de me tromper mais justement de former des enfants qui n’auront aucune difficulté, qui sauront se débrouiller peu importe les apprentissages, les matières. Mon gros défaut est de faire attention au regard des autres, d’y donner trop d’importance, de m'attacher trop rapidement aux personnes qui m'entourent. Je me remets facilement en questions, ce qui peut parfois être une source de problèmes. Mais qui ne se remet pas en questions, ne peut progresser !

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  • Quel serait mon idéal professionnel ?

J’aimerais avoir une classe avec un enfant en intégration. L’intégration est un grand défi mais, à la sortie de nos études, nous faisons tous le serment de Socrate, nous devons donc tous croire en chacun de nos élèves, les aider à aller le plus loin possible et surtout offrir une chance à TOUS. Je ferais en sorte que chaque élève qui entre dans ma classe, soit épanoui, soit acteur de son savoir, soit autonome et soit un citoyen responsable car les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain.

Si c’est possible, je partirai à l’étranger afin de voir les différences, les ressemblances qu’il peut y avoir à travers les pays. Cela peut également être un apport pour ma vie professionnelle car je peux m’inspirer de certaines pratiques vues dans certains pays, je pourrais aussi apporter mon savoir et mon aide à des populations moins favorisées.

Enseigner dans le spécialisé peut être une option. Je n’ai pas de type particulier bien que le type 5, qui est le type le moins connu me tente. Je suis attirée par l’inconnu. Je suis bien consciente que malheureusement, tout le monde n’est pas apte à enseigner dans le spécialisé, on m’a souvent répété : « On aime ou on n’aime pas. » mais cela m’attire particulièrement car je veux pouvoir donner à ces enfants dits différents, avec un handicap/ à besoins spécifiques, la chance d’apprendre, de progresser. Il faudra bien évidemment trouver des pistes, des pratiques pédagogiques différentes, avancer au rythme de chacun, avoir des objectifs divers.

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  • Quelles maximes, proverbes, citations pourraient me guider dans l’exercice du métier ?

« Pour qu’un enfant grandisse, il faut tout un village. » Voilà un proverbe sénégalais qui illustre avec justesse l’importance de la mobilisation de la communauté dans le processus de socialisation des jeunes. C’est probablement ce qui explique sa fréquence dans les outils de communication qui incitent les gens à la solidarité et au soutien à l’éducation des enfants.

« Enseigner, ce n’est pas inculquer à une âme des idées figées et sans vie, mais l’ensemencer de telle sorte que la moisson qui lèvera en elle, ensemence à son tour d’autres âmes impérissablement. » (Platon, Phèdre.)

« Aide-moi à faire seul. » (Maria Montessori)

« Un enseignant : individu qui nourrit les esprits, qui réconforte les cœurs et qui insuffle des rêves. »

« La véritable égalité n’est pas de donner la même chose à tout le monde en même temps mais d’offrir à chacun ce dont il a besoin au bon moment».  Philosophie de l’intégration 

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  • Quelles sont les valeurs que je veux impérativement promouvoir au sein de ma classe ?

Le respect d’autrui, l’entraide, la solidarité, l’essentiel pour moi est de pouvoir compter sur l’autre. Mon but est de favoriser la confiance en soi et l’épanouissement des élèves. Je crois sincèrement en la capacité pour chaque enfant d'apprendre et de progresser dans la connaissance afin de parvenir à un niveau scolaire élevé tout en s'épanouissant.

Très important aussi, la curiosité, l’envie d’apprendre, le droit à l’erreur, l’ouverture aux autres, changer le regard des élèves, l’ouverture au monde.

N’oublions pas encore une fois, que les élèves sont le reflet de leur enseignant mais surtout qu’ils sont les adultes de demain, ceux qui formeront la société, qui feront avancer le monde.

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  • Quelle problématique pédagogique me tient particulièrement à cœur, quels projets ai-je envie de promouvoir dans ma classe ?

J’aimerais promouvoir en classe, les projets en cycle. Par exemple en éveil : donner une leçon en P1-P2. Cela permet d’avoir plus d’échanges entre les enseignants, les élèves. Les élèves ont un aperçu de l’année suivante, ce que nous attendons d’eux, ce qu’ils vont apprendre,… Il permet l’autonomie, la responsabilité des élèves envers les plus jeunes. Le travail en cycle est très enrichissant également pour les professeurs car il permet de travailler en équipe éducative, nous pouvons échanger les idées mais également les pratiques.

La problématique qui me tient particulièrement à cœur est l’intégration scolaire. En effet, je crois qu’il est important de donner une chance à chaque élève quel que soit son handicap, sa différence. Je souhaite donc me spécialiser, suivre des formations afin d’avoir les armes adéquates pour aider au mieux ces élèves à besoins spécifiques. C’est une chance au niveau scolaire pour qu’ils aient les mêmes chances que les autres enfants, qu’ils aient les mêmes apprentissages mais avec des aides. C’est également un avantage au niveau social. En effet, tous les enfants d’aujourd’hui sont les citoyens de demain, il faut leur apprendre à vivre ensemble, à être solidaires.

Mon CV :

Bienvenue sur ma page personnelle. Vous trouverez ici des informations me concernant ainsi que mon CV. Comme dit dans mon titre, je suis institutrice primaire et cette année, je poursuis une formation en orthopédagogie afin d'enrichir mon expérience. 

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  • Quel a été le contexte du choix de mes études ?

Dès mon plus jeune âge j’ai toujours souhaité devenir institutrice primaire et ce métier est toujours resté comme une envie en moi.

Lorsque j’étais en primaire, j’ai toujours été attentive à tout ce qui m’entourait dans la classe: les affiches, la matière vue aux cours, le matériel ou les jeux qui étaient à notre disposition. De plus, mes enseignants m’ont donné envie de faire ce métier de par leur façon d’être : gentils, attentifs, patients, …

Je suis également animatrice pour des enfants lors de plaines de vacances mais aussi dans une unité scoute. J’anime des enfants de 8 à 12 ans. Je me suis aperçue que j’appréciais le contact avec les enfants, surtout venant d’une famille de quatre enfants.  Cependant, je ne souhaitais pas continuer à les animer toute ma vie, je préférais et j’avais l’envie de leur apprendre plus de choses, de les ouvrir au monde, ouvrir leur esprit, les faire grandir, leur apporter une certaine culture mais aussi un acte social.

 Après ces études, j'ai entrepris une formation en orthopédagogie. Cette envie m'est venue d'abord de par mon petit frère. En effet, j'ai la chance d'être la grande sœur d'un petit garçon trisomique 21 que je peux voir s'épanouir chaque jour. Les jours ne se ressemblent pas et chaque jour a ses joies comme ses peines. En voyant ce que nous avons dû surmonter, le combat que nous menons chaque jour, j'ai eu envie d'entamer cette formation afin d'aider les enfants en difficultés, de soutenir les parents dans leur combat. D'autre part, lors de mes derniers stages, je me suis aperçue que l'enseignement n'aidait pas assez ces enfants à besoins spécifiques. Les enseignants sont parfois dépourvus, ils ne savent pas quelle attitude adopter, ils ne sont pas toujours partants pour des projets. Le système scolaire est selon moi inadapté car certains enfants sont exclus. Or, il faut un apprentissage pour tous.Il reste donc beaucoup à faire mais je suis prête à relever ce défi!

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  • Quels sont mes points forts et mes points faibles sur le plan personnel et sur le plan professionnel ?

Enthousiaste et souriante, j’aime le contact avec les enfants et je m’efforce d’être soucieuse du bien-être de chacun. Etant animatrice, je pense que cela est un atout au niveau du contact, des liens que je peux créer avec les enfants. Je n’ai pas peur d’aller vers eux.

A la fois patiente et disponible j’aime consacrer du temps à mon travail que ce soit lors de l’élaboration de la leçon, de la découverte de nouvelles matières ou du temps à consacrer à mes élèves pour les pousser à aller le plus loin possible, pour les aider lorsqu’ils ne comprennent pas une leçon.

Je suis quelqu’un de curieux, qui aime toujours apprendre, qui aime découvrir de nouvelles choses, de nouveaux horizons. Du coup, que ce soit pour approfondir une matière, pour aborder un nouveau sujet, cela ne me fait pas peur et me pousse à faire des recherches. Etant consciente que mon apprentissage n’est pas terminé je m’efforce de m’améliorer davantage chaque jour.

Ma discrétion pourrait parfois passer pour de la timidité, même si cela s’est fortement amélioré en trois ans grâce aux stages, à la confiance qui s’est développée mais toutefois je sais, quand il le faut, donner mon opinion et faire en sorte de la défendre. Je suis sociable et m’intègre facilement dans une équipe.

Au niveau de mes points faibles, j’éprouve encore certaines difficultés à évaluer correctement le temps d’une leçon en fonction de l’importance de la matière, de réguler les situations d’apprentissage. Quand je ne suis pas tout à fait à mon aise, j’ai encore un peu de mal, parfois, à m’ouvrir aux autres. L’apprentissage des mathématiques me fait toujours autant peur car ayant eu de grosses difficultés, j’ai l’impression de ne pas bien les enseigner, je n’ai pas envie de me tromper mais justement de former des enfants qui n’auront aucune difficulté, qui sauront se débrouiller peu importe les apprentissages, les matières. Mon gros défaut est de faire attention au regard des autres, d’y donner trop d’importance, de m'attacher trop rapidement aux personnes qui m'entourent. Je me remets facilement en questions, ce qui peut parfois être une source de problèmes. Mais qui ne se remet pas en questions, ne peut progresser !

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  • Quel serait mon idéal professionnel ?

J’aimerais avoir une classe avec un enfant en intégration. L’intégration est un grand défi mais, à la sortie de nos études, nous faisons tous le serment de Socrate, nous devons donc tous croire en chacun de nos élèves, les aider à aller le plus loin possible et surtout offrir une chance à TOUS. Je ferais en sorte que chaque élève qui entre dans ma classe, soit épanoui, soit acteur de son savoir, soit autonome et soit un citoyen responsable car les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain.

Si c’est possible, je partirai à l’étranger afin de voir les différences, les ressemblances qu’il peut y avoir à travers les pays. Cela peut également être un apport pour ma vie professionnelle car je peux m’inspirer de certaines pratiques vues dans certains pays, je pourrais aussi apporter mon savoir et mon aide à des populations moins favorisées.

Enseigner dans le spécialisé peut être une option. Je n’ai pas de type particulier bien que le type 5, qui est le type le moins connu me tente. Je suis attirée par l’inconnu. Je suis bien consciente que malheureusement, tout le monde n’est pas apte à enseigner dans le spécialisé, on m’a souvent répété : « On aime ou on n’aime pas. » mais cela m’attire particulièrement car je veux pouvoir donner à ces enfants dits différents, avec un handicap/ à besoins spécifiques, la chance d’apprendre, de progresser. Il faudra bien évidemment trouver des pistes, des pratiques pédagogiques différentes, avancer au rythme de chacun, avoir des objectifs divers.

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  • Quelles maximes, proverbes, citations pourraient me guider dans l’exercice du métier ?

« Pour qu’un enfant grandisse, il faut tout un village. » Voilà un proverbe sénégalais qui illustre avec justesse l’importance de la mobilisation de la communauté dans le processus de socialisation des jeunes. C’est probablement ce qui explique sa fréquence dans les outils de communication qui incitent les gens à la solidarité et au soutien à l’éducation des enfants.

« Enseigner, ce n’est pas inculquer à une âme des idées figées et sans vie, mais l’ensemencer de telle sorte que la moisson qui lèvera en elle, ensemence à son tour d’autres âmes impérissablement. » (Platon, Phèdre.)

« Aide-moi à faire seul. » (Maria Montessori)

« Un enseignant : individu qui nourrit les esprits, qui réconforte les cœurs et qui insuffle des rêves. »

« La véritable égalité n’est pas de donner la même chose à tout le monde en même temps mais d’offrir à chacun ce dont il a besoin au bon moment».  Philosophie de l’intégration 

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  • Quelles sont les valeurs que je veux impérativement promouvoir au sein de ma classe ?

Le respect d’autrui, l’entraide, la solidarité, l’essentiel pour moi est de pouvoir compter sur l’autre. Mon but est de favoriser la confiance en soi et l’épanouissement des élèves. Je crois sincèrement en la capacité pour chaque enfant d'apprendre et de progresser dans la connaissance afin de parvenir à un niveau scolaire élevé tout en s'épanouissant.

Très important aussi, la curiosité, l’envie d’apprendre, le droit à l’erreur, l’ouverture aux autres, changer le regard des élèves, l’ouverture au monde.

N’oublions pas encore une fois, que les élèves sont le reflet de leur enseignant mais surtout qu’ils sont les adultes de demain, ceux qui formeront la société, qui feront avancer le monde.

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  • Quelle problématique pédagogique me tient particulièrement à cœur, quels projets ai-je envie de promouvoir dans ma classe ?

J’aimerais promouvoir en classe, les projets en cycle. Par exemple en éveil : donner une leçon en P1-P2. Cela permet d’avoir plus d’échanges entre les enseignants, les élèves. Les élèves ont un aperçu de l’année suivante, ce que nous attendons d’eux, ce qu’ils vont apprendre,… Il permet l’autonomie, la responsabilité des élèves envers les plus jeunes. Le travail en cycle est très enrichissant également pour les professeurs car il permet de travailler en équipe éducative, nous pouvons échanger les idées mais également les pratiques.

La problématique qui me tient particulièrement à cœur est l’intégration scolaire. En effet, je crois qu’il est important de donner une chance à chaque élève quel que soit son handicap, sa différence. Je souhaite donc me spécialiser, suivre des formations afin d’avoir les armes adéquates pour aider au mieux ces élèves à besoins spécifiques. C’est une chance au niveau scolaire pour qu’ils aient les mêmes chances que les autres enfants, qu’ils aient les mêmes apprentissages mais avec des aides. C’est également un avantage au niveau social. En effet, tous les enfants d’aujourd’hui sont les citoyens de demain, il faut leur apprendre à vivre ensemble, à être solidaires.

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