Le premier cours fut comme un rappel pour la plupart d'entre nous car nous avons revu le système de l'enseignement spécialisé. Nous avons tout d'abord défini plusieurs termes propres à l'enseignement spécialisé. Ensuite, nous avons revu les missions de l'enseignement spécialisé ainsi que ses objectifs qui me semblent important de comprendre:
- Aider chacun à définir et à atteindre son projet personnel;
- Permettre à chaque élève de bénéficier d'un accompagnement pédagogique, paramédical, psychologique et social;
- Assurer à chaque élève de façon individualisée une large éducation de base en fonction de ses besoins et de ses potentialités;
- Observer et évaluer de façon continue l'évolution de chaque élève.
-Un autre objectif essentiel est de trouver pour les enfants inadaptés, une voie d’intégration dans la société qui leur est propre. Ceci afin de leur donner des chances dans leur future vie d’adulte. C’est aller au-delà de l’assistance, en recherchant l’intégration familiale, professionnelle et sociale. De cet objectif découle donc l’idée d’organiser un enseignement adapté aux différentes formes de handicap.
-C’est aussi répondre aux besoins des enfants par le développement de leur épanouissement, par une éducation valorisante basée sur la réussite plutôt que sur l’échec.
-Mettre les enfants dans les meilleures conditions afin qu’ils se sentent bien dans le milieu scolaire, qu’ils » se réconcilient » avec l’école et donc, qu’ensuite, ils puissent s’intégrer dans la société.
Dans l’enseignement spécialisé, les écoles sont réparties selon le type de handicap des personnes:
Type 1 : arriération mentale légère.
Type 2 : arriération mentale modérée à sévère (trisomie 21).
Type 3 : personnes atteintes de troubles du comportement et/ou de la personnalité.
Type 4 : personnes atteintes de déficience physique.
Type 5 : personnes en hospitalisation ou en convalescence.
Type 6 : personnes atteintes de déficience visuelle.
Type 7 : personnes atteintes de déficience auditive.
Type 8 : personnes atteintes de troubles spécifiques des apprentissages.
Toutes ces notions me semblaient importantes à rappeler afin de remettre les choses au clair et que tout le monde ait les même bases.
Lors du deuxième cours, nous avons traité des conditions d’admission dans l’enseignement spécialisé. Cela part d’abord d’un constat de la part de l’enseignant qui oriente les parents vers les centres psycho-médico-sociaux afin que des tests soient établis. Il est important de ne pas se précipiter et de pouvoir réfléchir, penser ses actes. Je peux faire le lien avec un des cours de Madame Frère (construction et évaluation des grilles d'analyse), il faut analyser la situation et penser à ce qui peut être le mieux pour l'enfant car certaines situations pourraient être évitées. Des questions me viennent alors à l'esprit comme: est-ce que l'enseignement est toujours adapté en Belgique? Ne faudrait-il pas trouver d'autres démarches/projets?
Nous avons aussi mis en évidence les différents stades qui existent dans l'enseignement secondaire spécialisé et nous avons également revu les divers types de maturité dans l'enseignement primaire spécialisé.
Après cela, deux documentaires nous furent présentés. Ce qui ressort de ces documentaires est que l'enseignement spécialisé n'existe que depuis quarante ans mais qu'il est de plus en plus présent pour les personnes à besoins spécifiques. Ce qui me touche dans les documentaires est le fait que toutes ces personnes évoluent à leur rythme, suivant leurs compétences mais qu'il faut marquer leur évolution, leurs progrès, leurs efforts. Toutes ces personnes ne doivent pas être rabaissées aux yeux de la société!
Lors d'un autre cours, un rappel fut fait sur l'organisme AVIQ anciennement appelé AWIPH mais également sur le service PHARE (personnes handicapées autonomie recherchée) en région de Bruxelles-Capitale qui poursuit les mêmes objectifs que l'AVIQ. Nous avons ensuite continuer avec le SSAS qui est une structure spécialement conçue pour les élèves qui ont des problèmes caractériels ou de comportement. Cette structure permet de proposer des projets individualisés pour les élèves présentant ce type de difficultés.
La différence entre intégration et inclusion a aussi été abordée. Je ne m'étendrai pas sur ce sujet car un travail fut réalisé (onglet documents dans la partie apports personnels). Je pense que le cours a permis de bien réexpliquer les deux concepts qui sont fort différents.
Ci-dessous, vous trouverez le travail d'analyse que nous avons dû réaliser pour ce cours. Il s'agissait d'un projet d’établissement à analyser selon les objectifs de l'enseignement spécialisé. Ce projet nous a semblé particulièrement intéressant, détaillé et semble remplir bon nombre des objectifs! Après analyse, nous avons constaté que l’établissement n’a pas simplement rédigé ce projet uniquement afin de satisfaire à une obligation décrétale. Ils ont rédigé un document écrit définissant les priorités collectives que leur établissement se donne.
Le premier cours fut comme un rappel pour la plupart d'entre nous car nous avons revu le système de l'enseignement spécialisé. Nous avons tout d'abord défini plusieurs termes propres à l'enseignement spécialisé. Ensuite, nous avons revu les missions de l'enseignement spécialisé ainsi que ses objectifs qui me semblent important de comprendre:
- Aider chacun à définir et à atteindre son projet personnel;
- Permettre à chaque élève de bénéficier d'un accompagnement pédagogique, paramédical, psychologique et social;
- Assurer à chaque élève de façon individualisée une large éducation de base en fonction de ses besoins et de ses potentialités;
- Observer et évaluer de façon continue l'évolution de chaque élève.
-Un autre objectif essentiel est de trouver pour les enfants inadaptés, une voie d’intégration dans la société qui leur est propre. Ceci afin de leur donner des chances dans leur future vie d’adulte. C’est aller au-delà de l’assistance, en recherchant l’intégration familiale, professionnelle et sociale. De cet objectif découle donc l’idée d’organiser un enseignement adapté aux différentes formes de handicap.
-C’est aussi répondre aux besoins des enfants par le développement de leur épanouissement, par une éducation valorisante basée sur la réussite plutôt que sur l’échec.
-Mettre les enfants dans les meilleures conditions afin qu’ils se sentent bien dans le milieu scolaire, qu’ils » se réconcilient » avec l’école et donc, qu’ensuite, ils puissent s’intégrer dans la société.
Dans l’enseignement spécialisé, les écoles sont réparties selon le type de handicap des personnes:
Type 1 : arriération mentale légère.
Type 2 : arriération mentale modérée à sévère (trisomie 21).
Type 3 : personnes atteintes de troubles du comportement et/ou de la personnalité.
Type 4 : personnes atteintes de déficience physique.
Type 5 : personnes en hospitalisation ou en convalescence.
Type 6 : personnes atteintes de déficience visuelle.
Type 7 : personnes atteintes de déficience auditive.
Type 8 : personnes atteintes de troubles spécifiques des apprentissages.
Toutes ces notions me semblaient importantes à rappeler afin de remettre les choses au clair et que tout le monde ait les même bases.
Lors du deuxième cours, nous avons traité des conditions d’admission dans l’enseignement spécialisé. Cela part d’abord d’un constat de la part de l’enseignant qui oriente les parents vers les centres psycho-médico-sociaux afin que des tests soient établis. Il est important de ne pas se précipiter et de pouvoir réfléchir, penser ses actes. Je peux faire le lien avec un des cours de Madame Frère (construction et évaluation des grilles d'analyse), il faut analyser la situation et penser à ce qui peut être le mieux pour l'enfant car certaines situations pourraient être évitées. Des questions me viennent alors à l'esprit comme: est-ce que l'enseignement est toujours adapté en Belgique? Ne faudrait-il pas trouver d'autres démarches/projets?
Nous avons aussi mis en évidence les différents stades qui existent dans l'enseignement secondaire spécialisé et nous avons également revu les divers types de maturité dans l'enseignement primaire spécialisé.
Après cela, deux documentaires nous furent présentés. Ce qui ressort de ces documentaires est que l'enseignement spécialisé n'existe que depuis quarante ans mais qu'il est de plus en plus présent pour les personnes à besoins spécifiques. Ce qui me touche dans les documentaires est le fait que toutes ces personnes évoluent à leur rythme, suivant leurs compétences mais qu'il faut marquer leur évolution, leurs progrès, leurs efforts. Toutes ces personnes ne doivent pas être rabaissées aux yeux de la société!
Lors d'un autre cours, un rappel fut fait sur l'organisme AVIQ anciennement appelé AWIPH mais également sur le service PHARE (personnes handicapées autonomie recherchée) en région de Bruxelles-Capitale qui poursuit les mêmes objectifs que l'AVIQ. Nous avons ensuite continuer avec le SSAS qui est une structure spécialement conçue pour les élèves qui ont des problèmes caractériels ou de comportement. Cette structure permet de proposer des projets individualisés pour les élèves présentant ce type de difficultés.
La différence entre intégration et inclusion a aussi été abordée. Je ne m'étendrai pas sur ce sujet car un travail fut réalisé (onglet documents dans la partie apports personnels). Je pense que le cours a permis de bien réexpliquer les deux concepts qui sont fort différents.
Ci-dessous, vous trouverez le travail d'analyse que nous avons dû réaliser pour ce cours. Il s'agissait d'un projet d’établissement à analyser selon les objectifs de l'enseignement spécialisé. Ce projet nous a semblé particulièrement intéressant, détaillé et semble remplir bon nombre des objectifs! Après analyse, nous avons constaté que l’établissement n’a pas simplement rédigé ce projet uniquement afin de satisfaire à une obligation décrétale. Ils ont rédigé un document écrit définissant les priorités collectives que leur établissement se donne.
