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J'ai souhaité prendre le cours "Enfants malades" afin de pouvoir approfondir mes connaissances sur le sujet et pouvoir visiter diverses écoles à l'hôpital. 

La problématique des enfants malades est une problématique ancienne. Dans la partie francophone de notre pays, l'enseignement a l'hôpital est gratuit mais est vu comme un enseignement de luxe. De fait, le personnel médical sollicite cet enseignement pour les enfants. Cependant, l'école à l'hôpital ne peut répondre aux besoins de tous les enfants car il n'y a pas assez de professeurs et les enseignants ne sont pas formés à la problématique.Tandis que dans la partie flamande, ce suivi scolaire est obligatoire. 

Il existe divers types d'enseignement à l'hôpital: scolarisation à mi-temps, dans des centres de jour, à domicile, en hôpital. De nos jours, les enfants peuvent également être hospitalisés en psychiatrie. Il faut savoir que les maladies sont de plus en plus discrètes, peu connues et parfois l'école doit elle-même donner les médicaments. 

L'orthopédagogue qui va suivre un enfant hospitalisé doit connaitre son fonctionnement. En effet, l'enfant aura dû faire face à l'annonce de sa maladie qui fut un cataclysme. Cette maladie entraîne des changements : habitudes, milieux, règles, référents,environnements mais également des changements de comportements et d'états suivant l'âge de l'enfant. Si l'orthopédagogue ne prend pas en compte le fonctionnement de l'enfant avec les soins imposés, il ne pourra pas mettre en pratique son intervention de manière optimale.

Lors du premier cours, deux étudiantes nous ont présenté leur stage: école à l'hôpital et milieu psychiatrique. Deux milieux totalement différents. Antoinette nous a raconté que dans le milieu où elle se trouvait, il n'y avait pas un seul moment de libre. Il fallait être non-stop en action, réfléchir au moment-même à ce qu'il était possible de mettre en place comme apprentissages, vivre au moment présent. En effet, les enseignantes ne connaissent pas la durée de leurs apprentissages sachant que l'enfant peut être fatigué ou être appelé à tout moment. Antoinette nous a évoqué le fait que l'école à l'hôpital était pour les enfants un lieu de normalité où ils ne se considéraient pas comme "malades". L'école qui se trouve dans l'hôpital se met à la place des enfants et s'adapte à eux. Les enseignants voient avec l'enfant ce qu'il souhaite découvrir afin de lui procurer du plaisir, de la motivation et le sortir de son quotidien. L'enseignant doit être à l'écoute de l'enfant. Le témoignage d'Antoinette me semblait fort au niveau émotionnel et bouleversant. On sentait que même si ce n'était pas tous les jours facile, le vécu, l'apprentissage et la richesse des échanges étaient d'or! Alison elle, a eu un rôle plutôt thérapeutique. Le public est différent également puisqu'il s'agit d'enfants ayant des troubles psychologiques. 

Pour ce cours, nous effectuons diverses visites afin d'élargir nos horizons et de découvrir tous les types "d'école à l'hôpital". Ce vendredi  28 avril, nous sommes allés visiter une école à Liège qui accueille des enfants notamment en décrochage scolaire. Cette école est un bâtiment à part entière où les enfants peuvent venir. Il existe très peu de pièces: le bureau de la directrice, le secrétariat où les cours peuvent se donner, une imprimerie, un atelier de travaux manuels (bois), un local vidéo. C'est donc une autre organisation. Cette école dispose de plusieurs services comme des partenariats avec des centres pédopsychiatriques, des centres de jour, diverses écoles dans les hôpitaux et des soutiens à domicile. Dans ce lieu, les enseignants s'adaptent également aux élèves qui ne savent pas tous les jours venir suite à leur état. Les élèves restent généralement deux ans puis sont redirigés en douceur dans leur école d'origine. Les cours qui se donnent sont évidemment les cours généraux mais diverses activités plus spécifiques sont prévues: vidéo, montage, film, imprimerie, arts plastiques, cuisine, couture,... De plus, les enseignants écoutent toujours les besoins de l'élève et s'adaptent. Par exemple, la directrice nous expliquait qu'elle a du prendre rendez-vous chez son coiffeur afin d'y aller avec une élève qui ne se sentait pas bien dans sa peau. J'ai trouvé la visite agréable et cela nous montrait une possibilité d'école à l'hôpital. Je pense que l'enseignement ordinaire devrait prendre exemple sur l'enseignement spécialisé qui se centre sur l'élève et ses besoins mais qui offre également une alternative d'apprentissage autre que du frontal. Concernant l'équipe, en réfléchissant, je me suis aperçue que chacun avait plus un rôle d'orthopédagogue qui accompagne l'élève et prend en compte ses besoins en plus des apprentissages plutôt que d'enseignant. Pour moi, il s'agit d'un apprentissage de la vie, de l'autonomie.

 

Malheureusement, suite à des conflits horaire, je n'ai pu participer à la visite en milieu psychiatrique ni à celle prévue à l’hôpital St-Luc de Bruxelles.

 

Par chance, j'ai pu participer à celle du Zeepreventorium à De Haan. Je me réjouissais à l'avance de cette visite car, après ma formation d'institutrice primaire, j'avais déjà entendu parler de ce centre et si cela avait été possible, j'aurais souhaité y travailler. Lorsque je suis arrivée, je fus étonnée tellement le centre m'a semblé grand avec plein de bâtiments aménagés y compris des terrains de foot, une piscine,... Le centre francophone et en partie néerlandophone, accueille des bébés-enfants-ados jusque 18 ans qui souffrent de maladies chroniques, maladies pulmonaires, maladies de la peau, obésité, maladies complexes, diabète, syndrome de fatigue chronique. Pour pouvoir accueillir tout ce monde, une équipe médicale et pluridisciplinaire est présente. Sur place, l'infrastructure est adaptée aux enfants malades. Ainsi, nous retrouvons des salles avec du mobilier de fitness, des coins détente, des coins cuisine, des petites chambres par groupe de 2, des salles de classes adaptées, des locaux d'étude, des salles pour les séances de kinésithérapie ou de drainage lymphatique mais le plus surprenant est surtout le tunnel qui amène à la mer. Même si ce centre m'a époustouflée par ses principes, ses méthodes, ses bâtiments, je trouve que l'orthopédagogue a un rôle à jouer là-bas. Tout d'abord, il pourrait être ce lien qui leur manque entre eux et les écoles d'origine des enfants. Ainsi, il permettrait la communication, l'échange. L'orthopédagogue pourrait également revoir l'aménagement de la cour extérieure et du local abandonné afin de les réaménager adéquatement. En parlant d'aménagement, il pourrait repenser l'école primaire : les classes et le local d'étude afin que ceux-ci soient plus attrayants pour les enfants. La directrice nous a aussi fait part de soucis de remplacement d'enseignants dans son école. L'orthopédagogue pourrait pallier à ces soucis en ayant pris la relève de l'enseignant manquant tout comme il pourrait soulager les classes et les enseignants en étant polyvalent et en accompagnant individuellement certains enfants. Je retiens également de cette visite une phrase prononcée par la psychologue "Pour chaque enfant, il y a un manuel". J'avais déjà entendu cette phrase lors de mes années d'institutrice primaire mais je la trouve encore plus vraie maintenant avec ma vision d'orthopédagogue. En effet chaque enfant a un manuel, le tout est de bien comprendre l'enfant, le découvrir afin de pouvoir l'accompagner. 

Pour conclure ce cours, je dirais simplement que ma vision a complètement changé depuis le début de l'année. Au tout début, lorsqu'on me parlait d'enfants malades, je pensais à un enfant sur son lit d'hôpital et qui reçoit des cours de temps en temps. Ma vision était très réductrice. Or, cela est bien différent. J'ai découvert que le terme "enfants malades" peut signifier enfants présentant de l'obésité, étant en décrochage scolaire, étant en hôpital psychiatrique, présentant diverses maladies... le terme est donc très vaste. De plus, chaque établissement a un fonctionnement différent, une manière de travailler et de voir les choses différemment. En parlant d'enfants malades, on ne parle pas que de l'enfant dans sa chambre. Il faut tenir compte des douleurs qu'il peut avoir, des appareils qui l'accompagnent, des soins donnés, des absences pour les soins, de la fatigue entrainée par ces soins. De plus, quand on parle d'école à l'hôpital, celle-ci peut être dans l'hôpital, tout près mais extérieure, ou bien se présenter sous forme de centre/maison. L'orthopédagogue a son rôle à jouer en étant par exemple, le lien entre l'école à l'hôpital et les écoles ordinaires (d'origine) afin de favoriser la communication et l'échange. Il peut également apaiser les enfants, les faire sortir de leur quotidien grâce à diverses activités, adapter le matériel, soutenir l'entourage familial,... Son rôle va varier en fonction de l'établissement où il se trouve.

Suite à diverses recherches concernant la problématique, j'ai découvert divers articles, livres, vidéos qui pouvaient aider l'orthopédagogue qui travaille en milieu hospitalier. Je pense que l'orthopédagogue a un vrai rôle à jouer là-bas et notamment auprès des enfants. Je me rappelle de cette anecdote, arrivée au mois d'avril dans un hôpital de la région namuroise. Ma maman qui est infirmière, a dû faire face à un enfant autiste qui venait en hôpital de jour. Malheureusement, cet enfant était très angoissé et personne, ni même ses parents, ne parvenait à lui parler, à le déstresser. Un orthopédagogue, en plus de connaitre l'autisme, aurait essayé d'aider les professionnels en amenant l'enfant à déstresser par le biais de la pédagogie des nounours par exemple. Ainsi, il me semble essentiel que l'orthopédagogue soit muni d'une valise remplie de ressources pour venir en aide aux professionnels, les informer, leur donner des pistes, d'où mes recherches sur le sujet. 

J'ai souhaité prendre le cours "Enfants malades" afin de pouvoir approfondir mes connaissances sur le sujet et pouvoir visiter diverses écoles à l'hôpital. 

La problématique des enfants malades est une problématique ancienne. Dans la partie francophone de notre pays, l'enseignement a l'hôpital est gratuit mais est vu comme un enseignement de luxe. De fait, le personnel médical sollicite cet enseignement pour les enfants. Cependant, l'école à l'hôpital ne peut répondre aux besoins de tous les enfants car il n'y a pas assez de professeurs et les enseignants ne sont pas formés à la problématique.Tandis que dans la partie flamande, ce suivi scolaire est obligatoire. 

Il existe divers types d'enseignement à l'hôpital: scolarisation à mi-temps, dans des centres de jour, à domicile, en hôpital. De nos jours, les enfants peuvent également être hospitalisés en psychiatrie. Il faut savoir que les maladies sont de plus en plus discrètes, peu connues et parfois l'école doit elle-même donner les médicaments. 

L'orthopédagogue qui va suivre un enfant hospitalisé doit connaitre son fonctionnement. En effet, l'enfant aura dû faire face à l'annonce de sa maladie qui fut un cataclysme. Cette maladie entraîne des changements : habitudes, milieux, règles, référents,environnements mais également des changements de comportements et d'états suivant l'âge de l'enfant. Si l'orthopédagogue ne prend pas en compte le fonctionnement de l'enfant avec les soins imposés, il ne pourra pas mettre en pratique son intervention de manière optimale.

Lors du premier cours, deux étudiantes nous ont présenté leur stage: école à l'hôpital et milieu psychiatrique. Deux milieux totalement différents. Antoinette nous a raconté que dans le milieu où elle se trouvait, il n'y avait pas un seul moment de libre. Il fallait être non-stop en action, réfléchir au moment-même à ce qu'il était possible de mettre en place comme apprentissages, vivre au moment présent. En effet, les enseignantes ne connaissent pas la durée de leurs apprentissages sachant que l'enfant peut être fatigué ou être appelé à tout moment. Antoinette nous a évoqué le fait que l'école à l'hôpital était pour les enfants un lieu de normalité où ils ne se considéraient pas comme "malades". L'école qui se trouve dans l'hôpital se met à la place des enfants et s'adapte à eux. Les enseignants voient avec l'enfant ce qu'il souhaite découvrir afin de lui procurer du plaisir, de la motivation et le sortir de son quotidien. L'enseignant doit être à l'écoute de l'enfant. Le témoignage d'Antoinette me semblait fort au niveau émotionnel et bouleversant. On sentait que même si ce n'était pas tous les jours facile, le vécu, l'apprentissage et la richesse des échanges étaient d'or! Alison elle, a eu un rôle plutôt thérapeutique. Le public est différent également puisqu'il s'agit d'enfants ayant des troubles psychologiques. 

Pour ce cours, nous effectuons diverses visites afin d'élargir nos horizons et de découvrir tous les types "d'école à l'hôpital". Ce vendredi  28 avril, nous sommes allés visiter une école à Liège qui accueille des enfants notamment en décrochage scolaire. Cette école est un bâtiment à part entière où les enfants peuvent venir. Il existe très peu de pièces: le bureau de la directrice, le secrétariat où les cours peuvent se donner, une imprimerie, un atelier de travaux manuels (bois), un local vidéo. C'est donc une autre organisation. Cette école dispose de plusieurs services comme des partenariats avec des centres pédopsychiatriques, des centres de jour, diverses écoles dans les hôpitaux et des soutiens à domicile. Dans ce lieu, les enseignants s'adaptent également aux élèves qui ne savent pas tous les jours venir suite à leur état. Les élèves restent généralement deux ans puis sont redirigés en douceur dans leur école d'origine. Les cours qui se donnent sont évidemment les cours généraux mais diverses activités plus spécifiques sont prévues: vidéo, montage, film, imprimerie, arts plastiques, cuisine, couture,... De plus, les enseignants écoutent toujours les besoins de l'élève et s'adaptent. Par exemple, la directrice nous expliquait qu'elle a du prendre rendez-vous chez son coiffeur afin d'y aller avec une élève qui ne se sentait pas bien dans sa peau. J'ai trouvé la visite agréable et cela nous montrait une possibilité d'école à l'hôpital. Je pense que l'enseignement ordinaire devrait prendre exemple sur l'enseignement spécialisé qui se centre sur l'élève et ses besoins mais qui offre également une alternative d'apprentissage autre que du frontal. Concernant l'équipe, en réfléchissant, je me suis aperçue que chacun avait plus un rôle d'orthopédagogue qui accompagne l'élève et prend en compte ses besoins en plus des apprentissages plutôt que d'enseignant. Pour moi, il s'agit d'un apprentissage de la vie, de l'autonomie.

 

Malheureusement, suite à des conflits horaire, je n'ai pu participer à la visite en milieu psychiatrique ni à celle prévue à l’hôpital St-Luc de Bruxelles.

 

Par chance, j'ai pu participer à celle du Zeepreventorium à De Haan. Je me réjouissais à l'avance de cette visite car, après ma formation d'institutrice primaire, j'avais déjà entendu parler de ce centre et si cela avait été possible, j'aurais souhaité y travailler. Lorsque je suis arrivée, je fus étonnée tellement le centre m'a semblé grand avec plein de bâtiments aménagés y compris des terrains de foot, une piscine,... Le centre francophone et en partie néerlandophone, accueille des bébés-enfants-ados jusque 18 ans qui souffrent de maladies chroniques, maladies pulmonaires, maladies de la peau, obésité, maladies complexes, diabète, syndrome de fatigue chronique. Pour pouvoir accueillir tout ce monde, une équipe médicale et pluridisciplinaire est présente. Sur place, l'infrastructure est adaptée aux enfants malades. Ainsi, nous retrouvons des salles avec du mobilier de fitness, des coins détente, des coins cuisine, des petites chambres par groupe de 2, des salles de classes adaptées, des locaux d'étude, des salles pour les séances de kinésithérapie ou de drainage lymphatique mais le plus surprenant est surtout le tunnel qui amène à la mer. Même si ce centre m'a époustouflée par ses principes, ses méthodes, ses bâtiments, je trouve que l'orthopédagogue a un rôle à jouer là-bas. Tout d'abord, il pourrait être ce lien qui leur manque entre eux et les écoles d'origine des enfants. Ainsi, il permettrait la communication, l'échange. L'orthopédagogue pourrait également revoir l'aménagement de la cour extérieure et du local abandonné afin de les réaménager adéquatement. En parlant d'aménagement, il pourrait repenser l'école primaire : les classes et le local d'étude afin que ceux-ci soient plus attrayants pour les enfants. La directrice nous a aussi fait part de soucis de remplacement d'enseignants dans son école. L'orthopédagogue pourrait pallier à ces soucis en ayant pris la relève de l'enseignant manquant tout comme il pourrait soulager les classes et les enseignants en étant polyvalent et en accompagnant individuellement certains enfants. Je retiens également de cette visite une phrase prononcée par la psychologue "Pour chaque enfant, il y a un manuel". J'avais déjà entendu cette phrase lors de mes années d'institutrice primaire mais je la trouve encore plus vraie maintenant avec ma vision d'orthopédagogue. En effet chaque enfant a un manuel, le tout est de bien comprendre l'enfant, le découvrir afin de pouvoir l'accompagner. 

Pour conclure ce cours, je dirais simplement que ma vision a complètement changé depuis le début de l'année. Au tout début, lorsqu'on me parlait d'enfants malades, je pensais à un enfant sur son lit d'hôpital et qui reçoit des cours de temps en temps. Ma vision était très réductrice. Or, cela est bien différent. J'ai découvert que le terme "enfants malades" peut signifier enfants présentant de l'obésité, étant en décrochage scolaire, étant en hôpital psychiatrique, présentant diverses maladies... le terme est donc très vaste. De plus, chaque établissement a un fonctionnement différent, une manière de travailler et de voir les choses différemment. En parlant d'enfants malades, on ne parle pas que de l'enfant dans sa chambre. Il faut tenir compte des douleurs qu'il peut avoir, des appareils qui l'accompagnent, des soins donnés, des absences pour les soins, de la fatigue entrainée par ces soins. De plus, quand on parle d'école à l'hôpital, celle-ci peut être dans l'hôpital, tout près mais extérieure, ou bien se présenter sous forme de centre/maison. L'orthopédagogue a son rôle à jouer en étant par exemple, le lien entre l'école à l'hôpital et les écoles ordinaires (d'origine) afin de favoriser la communication et l'échange. Il peut également apaiser les enfants, les faire sortir de leur quotidien grâce à diverses activités, adapter le matériel, soutenir l'entourage familial,... Son rôle va varier en fonction de l'établissement où il se trouve.

Suite à diverses recherches concernant la problématique, j'ai découvert divers articles, livres, vidéos qui pouvaient aider l'orthopédagogue qui travaille en milieu hospitalier. Je pense que l'orthopédagogue a un vrai rôle à jouer là-bas et notamment auprès des enfants. Je me rappelle de cette anecdote, arrivée au mois d'avril dans un hôpital de la région namuroise. Ma maman qui est infirmière, a dû faire face à un enfant autiste qui venait en hôpital de jour. Malheureusement, cet enfant était très angoissé et personne, ni même ses parents, ne parvenait à lui parler, à le déstresser. Un orthopédagogue, en plus de connaitre l'autisme, aurait essayé d'aider les professionnels en amenant l'enfant à déstresser par le biais de la pédagogie des nounours par exemple. Ainsi, il me semble essentiel que l'orthopédagogue soit muni d'une valise remplie de ressources pour venir en aide aux professionnels, les informer, leur donner des pistes, d'où mes recherches sur le sujet. 

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