La première image qui me vient à l'esprit lorsqu'on me parle d'enfants malades est celle d'un enfant dans son lit. Quand on m'en parle je pense directement à un enfant qui est hospitalisé soit pour une chirurgie ou un examen donc une hospitalisation à court terme soit un enfant qui est hospitalisé pour un cancer et donc pour une hospitalisation à long terme. Alors qu'il peut y avoir également des enfants en centre psychiatrique. J'ai appris que certaines hospitalisations pouvaient être à mi-temps, mais qu'un enfant pouvait également ne plus être hospitalisé mais ne pas pouvoir aller à l'école ordinaire. Posez-vous la question, que pensez-vous quand on vous parle d'école à l'hôpital? Si vous êtes comme moi, vous penserez à l'école dans le service ou bien dans un lieu neutre c'est-à-dire en dehors du service (après le service ou dans un couloir). Sachez qu'il existe des écoles en dehors de l'hôpital, elle peut se situer un peu plus loin et les enfants doivent se déplacer mais il existe également l'école à la maison. J'ai appris lors de ce cours, qu'à la moitié du temps d'hospitalisation l'école d'origine devait commencer à reprendre la main sur l'enfant hospitalisé. Je me suis demandé si, dans le cas réel, cela était mis en pratique. Si l'école d'origine ne laissait pas faire l'école à l'hôpital jusqu'à la fin. Si l'école d'origine interagissait avec l'école à l'hôpital au niveau des visites pour l'enfant, des apports des autres enfants,...
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Au deuxième cours, le projet d'Ariane nous fut présenté. Ariane est une maman d'enfant extraordinaire qui se lance dans un projet à l’île de La Réunion. Ce projet est une ferme pédagogique qui accueillerait d'abord les adolescents et puis les enfants. Sa pédagogie se base sur la permaculture, les chevaux, le matériel Montessori, les neurofeedbacks, le "ici et maintenant",... Les progrès des enfants extraordinaires sont spectaculaires. Malheureusement ce projet a encore besoin d'aide, de subsides, de partenaires et c'est pourquoi elle se tourne vers tout le monde qui pourrait lui venir en aide afin de faire avancer son projet. Pour plus d'informations, je vous invite à visiter le site des Enfants de la chance son association: http://www.lesenfantsdelachance.org/ Ensuite, nous sommes revenus au sujet principal du cours les enfants malades. Nous avons parlé de l'effet de la maladie au niveau des enfants, de la fratrie et des parents. Je me suis revue il y a quelques années lorsque mon petit frère était hospitalisé pour la leucémie. A cet âge-là, je ne m'étais pas rendue compte de tout ce que nos parents avaient dû mettre en place pour que la fratrie reste soudée. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs de cette étape car je l'ai plutôt bien vécue. Malheureusement ce n'est pas le cas pour toutes les fratries. Certains enfants peuvent avoir le sentiment d'être abandonnés, certains peuvent refouler leurs besoins, d'autres encore brisent le cocon familial. Mon petit frère étant un nouveau-né lorsque la maladie fut découverte, il n'en a guère souffert. Pour certains enfants, il est important de surveiller leurs relations sociales afin que les comportements ne soient pas déviants.
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Lors d'un cours, nous avons également eu la visite d'une maman d'enfant malade. Cette maman se bat avec sa fille contre une forme rare de la leucémie. Elle nous a donc expliqué son parcours, le diagnostic, l'annonce de la maladie, le soutien des médecins, sa vie au quotidien,... Ce témoignage fut très émouvant car on se rend compte que c'est une grande étape dans la vie et qui atteint toute la famille. En effet, elle parlait également que les frères et soeurs avaient eu du mal lors de cet épisode car ils avaient du se débrouiller par eux-mêmes. Je pense que c'est dans des épisodes ainsi que l'on se rend compte des difficultés qu'il peut y avoir et surtout que le couple, la famille sont des éléments importants sur lesquels nous pouvons nous appuyer et puiser notre force.
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J'ai trouvé ce cours très passionnant. Ce fut une thématique que je ne connaissais pas sauf de nom. Lors des études, nous en avions parlé très peu et les stages dans ce domaine n'étaient pas conseillés. Je ne connaissais que l'autre côté du miroir, le côté de l'enfant malade. Comme je l'ai dit plus haut, mon petit frère était trop jeune que pour avoir l'école à l'hôpital. Comme cette thématique me touche, j'étais fort intéressée afin de la connaitre davantage. Les notions théoriques furent bien expliquées, en profondeur et m'ont appris beaucoup de choses peu connues. Le cours fut rendu vivant grâce aux témoignages du professeur qui nous racontait concrètement ce qui se passait. De plus, le témoignage fut une source importante pour le cours. Le petit bémol du cours est le fait que les explications étaient parfois trop longues et on se perdait facilement. J'aurais également souhaité savoir comment l'orthopédagogue pouvait intervenir dans ce domaine et donc avoir quelques pistes.
La première image qui me vient à l'esprit lorsqu'on me parle d'enfants malades est celle d'un enfant dans son lit. Quand on m'en parle je pense directement à un enfant qui est hospitalisé soit pour une chirurgie ou un examen donc une hospitalisation à court terme soit un enfant qui est hospitalisé pour un cancer et donc pour une hospitalisation à long terme. Alors qu'il peut y avoir également des enfants en centre psychiatrique. J'ai appris que certaines hospitalisations pouvaient être à mi-temps, mais qu'un enfant pouvait également ne plus être hospitalisé mais ne pas pouvoir aller à l'école ordinaire. Posez-vous la question, que pensez-vous quand on vous parle d'école à l'hôpital? Si vous êtes comme moi, vous penserez à l'école dans le service ou bien dans un lieu neutre c'est-à-dire en dehors du service (après le service ou dans un couloir). Sachez qu'il existe des écoles en dehors de l'hôpital, elle peut se situer un peu plus loin et les enfants doivent se déplacer mais il existe également l'école à la maison. J'ai appris lors de ce cours, qu'à la moitié du temps d'hospitalisation l'école d'origine devait commencer à reprendre la main sur l'enfant hospitalisé. Je me suis demandé si, dans le cas réel, cela était mis en pratique. Si l'école d'origine ne laissait pas faire l'école à l'hôpital jusqu'à la fin. Si l'école d'origine interagissait avec l'école à l'hôpital au niveau des visites pour l'enfant, des apports des autres enfants,...
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Au deuxième cours, le projet d'Ariane nous fut présenté. Ariane est une maman d'enfant extraordinaire qui se lance dans un projet à l’île de La Réunion. Ce projet est une ferme pédagogique qui accueillerait d'abord les adolescents et puis les enfants. Sa pédagogie se base sur la permaculture, les chevaux, le matériel Montessori, les neurofeedbacks, le "ici et maintenant",... Les progrès des enfants extraordinaires sont spectaculaires. Malheureusement ce projet a encore besoin d'aide, de subsides, de partenaires et c'est pourquoi elle se tourne vers tout le monde qui pourrait lui venir en aide afin de faire avancer son projet. Pour plus d'informations, je vous invite à visiter le site des Enfants de la chance son association: http://www.lesenfantsdelachance.org/ Ensuite, nous sommes revenus au sujet principal du cours les enfants malades. Nous avons parlé de l'effet de la maladie au niveau des enfants, de la fratrie et des parents. Je me suis revue il y a quelques années lorsque mon petit frère était hospitalisé pour la leucémie. A cet âge-là, je ne m'étais pas rendue compte de tout ce que nos parents avaient dû mettre en place pour que la fratrie reste soudée. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs de cette étape car je l'ai plutôt bien vécue. Malheureusement ce n'est pas le cas pour toutes les fratries. Certains enfants peuvent avoir le sentiment d'être abandonnés, certains peuvent refouler leurs besoins, d'autres encore brisent le cocon familial. Mon petit frère étant un nouveau-né lorsque la maladie fut découverte, il n'en a guère souffert. Pour certains enfants, il est important de surveiller leurs relations sociales afin que les comportements ne soient pas déviants.
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Lors d'un cours, nous avons également eu la visite d'une maman d'enfant malade. Cette maman se bat avec sa fille contre une forme rare de la leucémie. Elle nous a donc expliqué son parcours, le diagnostic, l'annonce de la maladie, le soutien des médecins, sa vie au quotidien,... Ce témoignage fut très émouvant car on se rend compte que c'est une grande étape dans la vie et qui atteint toute la famille. En effet, elle parlait également que les frères et soeurs avaient eu du mal lors de cet épisode car ils avaient du se débrouiller par eux-mêmes. Je pense que c'est dans des épisodes ainsi que l'on se rend compte des difficultés qu'il peut y avoir et surtout que le couple, la famille sont des éléments importants sur lesquels nous pouvons nous appuyer et puiser notre force.
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J'ai trouvé ce cours très passionnant. Ce fut une thématique que je ne connaissais pas sauf de nom. Lors des études, nous en avions parlé très peu et les stages dans ce domaine n'étaient pas conseillés. Je ne connaissais que l'autre côté du miroir, le côté de l'enfant malade. Comme je l'ai dit plus haut, mon petit frère était trop jeune que pour avoir l'école à l'hôpital. Comme cette thématique me touche, j'étais fort intéressée afin de la connaitre davantage. Les notions théoriques furent bien expliquées, en profondeur et m'ont appris beaucoup de choses peu connues. Le cours fut rendu vivant grâce aux témoignages du professeur qui nous racontait concrètement ce qui se passait. De plus, le témoignage fut une source importante pour le cours. Le petit bémol du cours est le fait que les explications étaient parfois trop longues et on se perdait facilement. J'aurais également souhaité savoir comment l'orthopédagogue pouvait intervenir dans ce domaine et donc avoir quelques pistes.
